Il y a quelques mois, j’ai rencontré une femme.
Elle prenait des cours de shibari, un art ancestral permettant d’attacher et d’être attaché.
En quelques minutes, elle a démystifié pour moi cette discipline, loin des pratiques sadomasochistes que l’on peut aisément corréler au shibari.
Une esthétique particulière, ou les cordes s’enlacent autour d’un corps, a mi-chemin entre une robe de grand couturier et une camisole de force.
Elle m’a attaché.
Depuis je me plaît à dessiner des corps liés.
Mon premier tattoo shibari. Mais sans doute pas le dernier !